la Ferme des Grands Noyers

Un rêve d'oasis


Notre projet d'"Oasis en Tout Lieu"

Comme nous avons beaucoup d'imaginaire en commun, nous avons choisi de nous relier au Projet Oasis porté par le Mouvement Colibri et Pierre Rabhi.

Hélène a suivit toute la formation en ligne du MOOC "concevoir une Oasis" pour mieux définir notre projet. La Ferme des Grands Noyers est inscrite sur la carte nationale des oasis et participe ainsi à l'élan global de promotion de nouveaux modes de vie.

Pour savoir si tout cela vous parle, allez sur le site du Projet Oasis.

Ci-joint également une carte mentale de notre projet qui évoluera en fonction des compagnons qui nous rejoindrons.

 

 

Projet Oasis


02/01/2018
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Mutualiser

A nous d'agir pour que le métier de paysan reste le plus beau métier du monde, soutenable et enviable.

Quelques pistes à expérimenter, que nous avons déjà en partie testé pour vous:

- Pratiquer la sobriété heureuse: savoir faire la différence entre besoin et envie, privilégier les achats de seconde main, réparer, recycler.

- Mutualiser les investissements en moyens de production pour garder son autonomie face au banquier.

- S'entraider en organisant des astreintes tournantes les jours fériés pour que chacun puisse s'échapper régulièrement en week-end

- Offrir ses mains et son temps pour les coups durs ou les grands travaux et ainsi profiter de la synergie démultipliée du travail en groupe quand la tâche est trop lourde pour un seul homme

- Etre attentif et bienveillant et ainsi pouvoir trouver l'écoute et le soutien de quelqu'un de proche et neutre dans les moments difficile.

- Etre disponible aux autres pour pouvoir être seul avec soi-même sans manquer à personne quand le besoin se présente ( un vrai plus aussi pour les enfants ).

 

 


01/01/2018
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Construisons ensemble les règles de notre jeu

L'idée est de partager le foncier pour que chacun soit propriétaire de ce dont il a besoin pour loger et exercer son activité.

Et aussi que chacun soit son propre patron, ait la souveraineté et la responsabilité de ses moyens de subsistance.

Bref, expérimentons la gouvernance horizontale et partagée.

SCI, SCOP, coopérative d'habitant, d'exploitants? A nous de choisir ce qui correspondra le mieux à ce que nous sommes. D'autres ont bien réussi, par exemple les Bishnoïs en Inde: lisez le merveilleux roman d'Irène Frain sur eux : "La forêt des 29".

 

 

Les bishnoïs

La Forêt de 29 d'Irène FRAIN

La gouvernance partagée


01/01/2018
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Apprendre à vivre ensemble

Une utopie d'imaginer vivre autrement que dans un système de domination et de concurrence? Pour les humains, du moins... Car depuis peu, les chercheurs en biologie et en chimle du sol ont prouvé que le rêgne végétal, lui, le faisait très bien: chaque plante équilibre ses échanges avec le reste de la Création pour participer harmonieusement au Grand Tout. Nous vous conseillons la lecture de l'excellent livre de Guylaine Goulfier: "La Révolution au Potager"

J'entends déjà certain dire "Oui, on la connait l'histoire des soixante-huitards qui s'installent entre potes pour élever peace and love des chèvres dans le Larzac. Au début tout est rose et puis après, tout le monde se tape dessus"

C'est vrai que dans ce genre de projet, c'est le facteur humain qui est le plus difficile à gérer et pour cause: les règles du Vivre Ensemble, de la prise de conscience de nos propres besoins et de ceux des autres, de la responsabilité  et de l'autonomie affective ne nous ont pas apprises à l'école. Là-bas, nous étions jugés, évalués, critiqués, mis en concurrence permanente, élagués, formatés quelque soit notre fibre d'origine pour rentrer dans les cases vacantes de la société de consommation.

Heureusement, d'autres techniques existent en font leurs preuves. Notamment celles de "l'Université du Nous" ou la "Communication Non Violente"

La Ferme des Grands Noyers sera un terrain de jeu idéal pour acquérir et expérimenter ces nouveaux savoirs. Il s'agira de désapprendre ce que nous ne voulons plus générer dans notre vie et ainsi faire la place pour les nouveaux paradigmes.

Apprendre à définir et exprier les ingrédients de notre propre bonheur, entendre les besoins vitaux de l'autre, s'accorder pour que chacun soit gagnant. Après tout, l'autre fait partie de mon monde et donc son bonheur est un élément primordial du mien.

Loin des gourous, des idéologies définitives, des vérités uniques et des certitudes inébranlables, mais en allant glaner deci-delà de quoi moudre à notre moulin commun, faisosns une force de la richesse de nos différences de point de vue.

 

"la révolution au potager"

l'Université du Nous

Communication non violente


01/01/2018
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